C'est parce qu'il a toujours considéré que l'action culturelle était indissociable de l'action politique et sociale que Guy Brassoud s'est profondément investi dans celle-ci. La lecture d'auteurs classiques et contemporains était, pour lui, la clé de toute émancipation. Pour susciter ce goût de la lecture, il a su imaginer une multitude d'évènements comme l'abonnement à un magazine pour cadeau de Noël, la lecture de poèmes sur le marché, tout en animant de nombreuses médiations dans les bibliothèques et autres lieux publics.
C'est donc naturellement que le théâtre s'est imposé dans son esprit. Tout d'abord au sein du Comité d'Entreprise Stäubli, puis en initiant la création de la compagnie Millésime 89. C'est plus d'une trentaine de pièces qui, depuis, ont été jouées, dont certaines sur plusieurs saisons. À cela s'ajoutent les lectures publiques, les médiations d'auteurs, les soirées poésie, l'accueil du théâtre amateur...
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